Il faisait très chaud. Nous nous baladions dans le parc entourant le temple du ciel. Personne ne se risquait à lézarder sous le soleil. Les promeneurs recherchaient la fraîcheur sous les arbres. Soudain, il est apparu, tout de blanc vêtu. Il portait un chapeau. Il se mit à chanter de vieux refrains chinois. Il souriait. Il commença à danser devant nous. Son regard était étrange, troublant, inquiétant. Il ressemblait à Didi, le fils de Wang Jen-Ghié, piqué par une fléchette au radjaïdjah dans le « Lotus Bleu ».
Il nous salua longuement et continua son chemin en chantant.
Ohhh, c’est Tonton Ramelan !!!
Qu’est ce qu’il fout sur ce blog ?
Oh, ma cherie, c’est toi. Je suis si heureux d’avoir de tes nouvelles.
Toujours meneuse de revue au casino de Beyrouth?
Tonton !
Nan, je suis maintenant riche heritiere, gr??⬨